La gestion de la curarisation et de la décurarisation

La curarisation résiduelle est imprévisible, fréquente et source de morbidité
Une dose de curare suffirait pour enclencher une curarisation résiduelle, avec un développement fréquent, imprévisible et source morbidité. Découvrez les détails dans cet article.

Impact du monitorage et/ou décurarisation pharmacologique sur le taux de curarisation résiduelle
La curarisation résiduelle peut être fortement réduite par le monitorage préparatoire du bloc neuromusculaire et la décurarisation pharmacologique. Découvrez l’étude dans l’article.

La curarisation résiduelle est présente même sous monitorage
Le monitorage des patients n’empêcherait pas le développement d’une curarisation résiduelle en SSPI. Découvrez les raisons dans cet article.

La curarisation profonde est associée à des meilleurs conditions chirurgicales comparée à la curarisation moderée
L’induction du bloc neuromusculaire profond améliore les conditions chirurgicales tout en réduisant les conditions opératoires inacceptables, notamment pendant une hystéréctomie par laparoscopie. Découvrez les résultats de l’étude dans l’article.

Curarisation profonde ou modérée ?
Les curarisations profondes ou modérées peuvent avoir différents effets sur les conditions chirurgicales pendant une prostatectomie et néphrectomie par laparoscopie. Découvrez l’article qui révèle ces résultats.

L’impact d’une curarisation profonde sur le volume intra-abdominal à différentes pressions d’insufflation
La curarisation profonde pourrait suffisamment augmenter le champ opératoire pour permettre une réduction de la pression de l’insufflation. Découvrez pourquoi dans cet article.

Le temps de récupération neuromusculaire est plus ou moins important selon les groupes musculaires
Entre les muscles du diaphragme et l’adducteur du pouce, les durées d’action des curares varient chez les patients sous anesthésie générale. Découvrez les conclusions de l’étude dans cet article.

Conditions chirurgicales : Le point de vue des anesthésistes et des chirurgiens
Une évaluation des conditions chirurgicales révèle que la communication entre anesthésistes et chirugiens est primordiale pour optimiser la curarisation. Découvrez le point de vue des spécialistes dans cet article.