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Impact du monitorage et/ou décurarisation pharmacologique sur le taux de curarisation résiduelle


Les tests cliniques ne suffisent pas pour le diagnostic de la curarisation résiduelle1

Les tests cliniques ne suffisent pas à garantir l’absence de curarisation résiduelle ; le monitorage instrumental constitue l’élément principal du suivi de la décurarisation

Impact du monitorage et/ou décurarisation pharmacologique sur le taux de curarisation résiduelle2

Objectif

Déterminer si la mise en place d’un monitorage et/ou décurarisation pharmacologique en salle d’opération a un impact sur l’incidence de la curarisation résiduelle en SSPI.

Méthode

Entre 1995 et 2004, monitorage de 884 patients en SSPI après l’induction d’un bloc modéré sous anesthésie générale.
Les instruments pour le monitorage étaient disponibles à partir de 1995.

Critère principal

Mesure du taux de curarisation à l’arrivée en SSPI.

Résultats

Conclusions

Le monitorage préopératoire du bloc neuromusculaire et la décurarisation pharmacologique ont permis une forte réduction de la curarisation résiduelle.


Références

(1) Fuchs Buder T, et al. Residual neuromuscular blockades. Clinical consequences, frequency and avoidance strategies. Anaesthesist. 2006;55:7-16.
(2) Baillard C, et al. Postoperative residual neuromuscular block : a survey of management. Br J Anaesth. 2005;95(5):622-6.